J’ai très envie mon amour, vraiment très envie.

De faire de toi mon enculé

Je me découvre des envies de te faire baisser les yeux. D’une inflexion de voix passant de joueuse à autoritaire, te faire comprendre, par des mots simples, que non, cette fois, tu ne t’en tireras pas aussi facilement.

Il y a un monde fou dans le restaurant de l’hôtel. Je te regarde. Nous venons de passer la journée sur la route, tu as l’air fatigué. Je passe un doigt sur ta joue, glisse jusqu’à ta bouche, puis te murmure en souriant :

– Je vais prendre mon café seule, chéri. Toi, tu vas monter dans la chambre, te déshabiller et te mettre à quatre pattes sur le lit. Quand je vais entrer, je veux te voir à poil, les fesses tendues, la tête dans l’oreiller. Prêt à recevoir une correction amplement méritée.

Tu dois bien t’en douter, non ? A la manière dont tu as joué les jolis cœurs avec la petite serveuse, ce midi. Je n’ai rien dit sur le moment pour ne pas l’embarrasser, mais ne crois tu pas que ton image de beau parleur et ton sourire enjôleur en prendraient un coup, si elle te surprenait nu, les mains dans le dos, attendant que je t’attrape par les cheveux pour te flanquer une bonne fessée ?

Mon chéri, mon amour, mon enculé, il viendra forcément un jour où, main dans la main, sur un boulevard ou dans une petite rue, je glisserai à ton oreille :

– Tu la sens encore, la fessée de ce matin, mon cœur ? C’est fou comme ton cul est devenu plus accueillant. Je peux enculer mon homme quand bon me semble maintenant, avec ou sans gel…

Par jeu et par amour, je serai toujours ton enculée. Tu vas juste apprendre à devenir le mien… Sois sûr que je ne tarderai pas à t’attraper par les couilles pour te demander à qui tu appartiens.

Likes

4 Commentaires