
Un second texte, dans la même veine que ” l’entretien” .
Tu conviendras avec moi qu’il n’y a rien de pire qu’un client mécontent. Tu essaies de le calmer au téléphone, rien n’y fait, il va résilier. Pourtant, c’était juste une toute petite erreur, qui ne reproduira plus. Finalement, tu décides de tenter le tout pour le tout et, profitant des vendredis particulièrement calmes tu lui proposes de passer pour en discuter.
Evidemment, tu ne me préviens de rien, mais il m’a bien semblé que tu appréciais en connaisseur la taille (très réduite) de ma jupe. A midi, tu m’as juste demandé de ne porter que ma veste de tailleur, sans rien en dessous. Mais c’est une demande “habituelle” pour un vendredi. Je ne me méfie de rien.
A quatorze heures, j’accueille “normalement” ton client. Un “vieux beau, un peu banal, la quarantaine. Je l’invite à entrer et lui propose du café. Vous passez tous les deux dans ton bureau.
Tu me fais rapidement venir. Je ne sais pas ce que vous vous êtes dit, mais l’ambiance est électrique dès que je passe la porte. L’homme me regarde avec des yeux brillants. Un léger sourire se dessine sur tes lèvres.
– Enlève ta veste.
Je fais de mon mieux pour ne pas montrer ma surprise. D’habitude, pas de jeux à plusieurs au bureau. Je t’interroge du regard et décide de rentrer dans le jeu. Doucement, je fais glisse ma veste et dévoile ma poitrine. Tu te lèves, viens te placer derrière moi et m’attrape la pointe du sein, avant de la prendre dans ta bouche. Je ferme les yeux et ne tarde pas à sentir une seconde langue me titiller. Mes tétons durcissent et je commence à onduler du bassin.
Fort heureusement, vous ne me faites pas attendre trop longtemps : Ta main (ou est-ce la sienne ?), s’insinue entre mes cuisses et commence à tourné autour de mon bouton. Mes gémissements se font plus intenses quand je sens une seconde main me titiller par derrière. Il me semble que vous me chauffer ainsi pendant une éternité.
Puis, je sens tes mains qui appuient sur mes épaules. Je me laisse diriger jusqu’à la barguette de ton client, dont le tissu est déjà bien tendu. Je sors son sexe et l’embouche. Petit mais charnu. Je prends plaisir à le sentir palpiter dans ma bouche, mais cela ne dure pas : le monsieur a d’autres envies. Il se dégage et me fait signe de me mettre à quatre pattes. Je m’exécute avec délice, même si la pénétration brutale m’arrache un cri : il a pris mon cul sans demander, mais je lui en voudrais plus tard. Après une brûlure assez intense, je sens le plaisir monter dans mon ventre tandis qu’il s’agite lentement. Les yeux fermés, tout a mon plaisir, je n’ai pas remarqué que tu l’avais rejoins par terre et je sursaute quand ta langue effleure mon bouton. Je ne sais plus où je suis. Tu me lèches divinement avec une grande douceur et sa queue me possède toute entière. Je finis par jouir et m’écroule exténuée devant ton bureau.

Mais tu n’as pas dit ton dernier mot et lui non plus. Afin de sceller vous nouveaux “accords commerciaux », tu lui proposes d’échanger vos places dans une double pénétration. Un peu tremblante sur mes jambes, je n’ai que le choix de me laisser faire, ce que je fais de bonne grâce. Je me glisse donc entre vous deux et me cambre pour t’accueillir, tandis qu’il me plaque contre lui pour que je m’empale. Rapidement, mes pieds ne touchent plus terre. Le plaisir, que je croyais momentanément éteint, ressurgi, brutal et foudroyant. Vous jouissez l’un et l’autre en même temps.
Ton client se rajuste et je me rhabille. Je quitte rapidement le bureau. J’ai besoin d’un café. Je ne pense pas qu’il résiliera son contrat cette fois ci.
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